Tous en selle


En Mongolie, les bébés sont mis en selle avant même de savoir marcher. Ici, c’est la mobylette ou le scooter.
D’abord bercés par les deux roues dans le ventre de leur mère, ils sont ensuite portés par le bras gauche maternel, la main droite servant à piloter. Plus grands, ils seront mi-assis, mi-agenouillés à l’avant, entre la selle et le guidon, maintenus par les jambes du conducteur.
L’étape suivante les verra voyager derrière, sur le biplace, solidement accrochés au pilote, à moins qu’ils ne soient pris en sandwich entre deux adultes, ce qui n’est pas incompatible avec la présence d’un plus petit devant.
Yiiiiiiiiii…Haaaaaah !
L’éléphanteau fait bien partie de la famille.

Le deux-roues est un élément fondamental du décor et de l’économie. Un ingénieux système de side-car peut transformer une vulgaire meule en taxi, en atelier, en stand de cuisine ou de vente ambulante selon l’activité de son propriétaire. Ils peuvent être totalement déglingués ou bien flambants neufs et décorés, trimballer des poules ou bien être bâchés. Les variantes semblent infinies.



Compagnons de route













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