Kuala Lumpur, le retour

Nous avons plus d’un jour et demi à passer ici avant de prendre l’avion et il nous reste 280 Ringgits (70€) de notre passage précédent.
Nous partons après la sieste et nous replongeons dans cette termitière à cinq étages, dans cette ode à la consommation mondialisée que constitue le centre commercial de KLCC. Channel, Lacoste, Armani, YSL, Apple, Billabong, ils y sont tous…
À la librairie, rien d’intéressant sur les massages, par contre la dernière version de « Touch For Health » de John et Matthiew Thie, trône dans un rayon. Dans la galerie marchande, nous trouvons un HD Samsung de 500 Gb à 300 Ringgits (75€).
À la sortie il fait nuit comme nous l’avions calculé, ce qui nous permet d’admirer les tours éclairées. Nous nous laissons prendre par cet incroyable spectacle, témoin du génie humain et que nous mitraillons de photos. Comme tout le monde.
Nous rentrons à Chinatown pour dîner dans la rue et puis au lit. Je suis crevé et mon refroidissement me fait appréhender le vol du lendemain.
Pendant ce temps-là, l'idée folle d'aller chez le coiffeur me traverse l'esprit… J'aime les coupes décalées que je vois ici et pour une fois, le coiffeur ne devrait pas me faire de réflexion sur l'épaisseur et la raideur de mes cheveux.
Résultat, me voilà vaguement rouquine, pas mal châtain foncé avec trois mèches blondes en bataille. Le terme de balayage n'a pas été compris ! la coupe non plus, je ressemble à une gamine avec une coup sagement au carré mais heureusement la nuque dégagée ne m'oblige plus à m'attacher les cheveux. Quand au prix ! j'élève les coiffeurs au rang des chauffeurs de rickshaws. J'ai toujours eu des problèmes avec cette engeance. Va falloir que ça change du côté des merlans ! Bref, je râle toute la soirée…
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Me voilà fraîche et pimpante, attendant l’embarquement pour 18 h de vol avec escale à Sao Paulo et encore 7 heures de décalage. Comment font les pilotes et les hôtesses ? À bientôt.
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