Buenos-Aires II Aujourd’hui, nous sommes à 3 jours du départ, le temps s’est adouci, nous nous sommes offert un bel appart-hôtel pour finir en splendeur et nous sommes à nouveau complètement à la bourre pour raconter : Les longues balades en ville à traquer le tag, le palimpseste, l'affichette. les retrouvailles avec Fabiana (notre amie de Salvador qui a organisé le stage de kinésiologie d’Alfred à Diogo) le thé avec ses tantes et sa mère, un pur moment de joie et de félicité au milieu de ces femmes âgées, rayonnantes de vie, de rire, d’espièglerie. L’asado chez Cécilia et Juan-José, un summum, une messe a été dite ! Méticulosité et générosité. Le secret est dans l’entretien du feu, dans la cuisson lente et dan sle choix de la viande. La crise est passée par là, les gouvernements aux visées courtes aussi. Les grands estancieros ont misé sur le soja, jusqu’à démanteler les troupeaux, sacrifier les vaches-mères et la viande qui reste est destinée à l’exportation : fa...