Lune croissante


À la pointe du jour finissant
Seul un vieux forban
promet la lune

( pas la peine de compter, ceci n'est pas un haïku)

Commentaires

Armand a dit…
Les poètes du haïku disent avec les mots les plus usuels leur participation à la nature, leur permanence au cœur des choses. Un haïku traduit une illumination passagère dans laquelle on voit la réalité vivante des choses. C'est un " arrêt sur image "
Alors les trois vers, on s'en fout, ce qui compte c'est ce que nous montre ce vieux forban d’Alfred.
Alfred a dit…
Tu veux que je te montre mon haïku ?
Les doigts dans le nez !
(Alfred qui n'est pour rien dans le message)

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